Brahms' Third Piano Quartet stands out for the extremely involved and complex history of its genesis. A very first version of certain sections - still in c sharp minor - had been written in 1855/56, but neither the composer nor his friends were genuinely happy with this version. In 1869 Brahms reprised his work , but still found no satisfying solution. It was not until 1874/75 that he brought the final version to paper, replacing two movements of the original version with new ones. While the "tragic" key of c minor points to the truly dark, passionate character of the work, the composer actually singled out the mood of suffering of the quartet himself in several letters. L'histoire de la genèse du troisième quatuor avec piano de Brahms est particulièrement longue et compliquée. Une toute première version de certaines parties - encore en ut# mineur - fut composée dès 1855/56, mais ni le compositeur ni ses amis ne s'en montrèrent vraiment satis-faits. Brahms remit son oeuvre sur le métier en 1869, encore une fois sans trouver la solution idéale. Il fallut attendre 1874/75 pour qu'il lui donne sa version définitive dans laquelle deux mouvements de la version originelle sont remplacés entièrement par deux autres tout nou-veaux. La tonalité «tragique» d' ut mineur laisse deviner le caractère sombre et passionné de l'oeuvre. Brahms évoque d'ailleurs lui-même dans plusieurs de ses lettres «l'atmosphère à la Werther» de son quatuor. Brahms' drittes Klavierquartett hat eine höchst langwierige und komplizierte Entstehungsgeschichte. Eine allererste Fassung von Teilen - noch in cis-moll stehend - entstand bereits 1855/56. Weder der Komponist noch seine Freunde waren jedoch mit dieser Version so richtig glücklich. 1869 befasste Brahms sich erneut mit dem Werk, fand aber immer noch keine befriedigende Lösung. Erst 1874/75 brachte er die endgültige Fassung zu Papier; dabei wurden zwei Sätze der Urfassung durch neue ersetzt. Bereits die "tragische" Tonart c-moll weist auf den recht düsteren, leidenschaftlichen Charakter des Werks hin. Brahms selbst wies in mehre-ren Briefen auf die "Werther-Stimmung" des Quartetts hin.